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Association INJENO – Avec les « Quat’Z’Arts », un juste retour de solidarité pour nos extraordinaires « Injenount’ches » (1)
Ecrit par Luc MASSON le 5 février 2009

Avant ou après les « bandes », une grande partie des quelques quarante et plus associations carnavalesques organisent chaque année leur bal de carnaval où des centaines, voire des milliers de participants, viennent s’amuser sur des musiques diverses et variées, et principalement sur des airs du carnaval au son des fifres, tambours et cuivres.

L’association des Quat’Z’Arts(2) - organise chaque année le tout premier bal de la saison carnavalesque de Dunkerque : le Bal du Chat Noir(2).

En aparté de la fête, les associations carnavalesques se veulent également philanthropiques. Et cette année, cela allait être notamment au profit des enfants extraordinaires de l’association INJENO (pour rappeler le prénom des 3 enfants des familles fondatrices que sont INès, JEanne et NOé)…


Le très couru Bal du Chat Noir organisé par l’association philanthropique et carnavalesque des Quat’Z’Arts !

En effet pour les membres de cette association, au-delà du moment festif qu’il représente, le Bal du Chat Noir est aussi un moyen d’être solidaire. D’ailleurs « Plaisir et Charité », telle est la devise de l’association des Quat’Z’Arts : le plaisir dans la joie et l’allégresse bien évidemment ; mais être bien dans sa peau passe aussi par les bons sentiments et donc faire plaisir en étant à l’écoute des autres, en leur apportant un soutien moral et financier. Ainsi une très grande partie des bénéfices engrangés lors du Bal du Chat Noir est reversée en dons afin de venir en aide à différentes associations caritatives et aux plus démunis. L’an dernier, le bal a permis de reverser 42 000 euros.


Le blason de l’association dunkerquoise des Quat’Z’Arts

C’est dans cet objectif que les Quat’Z’Arts ont contacté l’association INJENO afin de voir s’il était possible de « recruter » parmi nos adhérents un certain nombre de bénévoles pour le Bal du Chat Noir dont c’était cette année la 63ème édition. Et en remerciement de ce coup de main, un don nous serait bien évidemment remis ultérieurement. L’association INJENO n’a eu aucun mal à fédérer la dizaine de bénévoles demandée.

Samedi 31 janvier 2009 à 19h00, c’est donc chez nous que j’avais convié l’ensemble des membres, adhérents ou sympathisants volontaires de l’association INJENO pour pouvoir « faire chapelle » (3) avant de nous rendre au Bal du Chat Noir. Au menu, un petit « cocktail dînatoire » avec les restes des pains surprises et galettes des rois de l’Assemblée Générale qui s’est déroulée la veille au soir. De quoi prendre quelques forces avant les efforts que nous aurons à déployer au cours de la soirée. Ont ainsi répondu présent à l’appel Francine CLAUSI (adhérente), Hervé COUBEL (adhérent), Eric DUBURE (Vice-trésorier et papa de la défunte Juliette), Dorothée FOURNIER (adhérente et maman de Manuel), Sylviane FOURNIER (adhérente et maman d’Elisa et Hugo), Olivier HATRON (adhérent), Jean-Claude HUYGHE (adhérent et grand-père de Noé), Sébastien HUYGHE (Chargé de Communication et papa de Noé), Philippe LEMAIRE (adhérent), Luc MASSON (Président et papa d’Inès), Aurélie MAYEUR (sympathisante), Thierry PINNA (sympathisant), César PLAISANT (Chargé de Communication Adjoint et papa de Jeanne), Sandrine PLANCQ (Vice-présidente et maman de Laura), Gaëtan RUBLIN (sympathisant), Christophe VARLET (adhérent et papa de Clément), Smaïn ZOUGGAR (sympathisant), et enfin moi-même… soit tout de même 18 personnes !


Une coutume fort conviviale à Dunkerque lors du carnaval : faire chapelle !


Sont entre autres venus prêter main forte (de gauche à droite) Olivier HATRON, Hervé COUBEL, Philippe LEMAIRE…


… (de gauche à droite) Sylviane FOURNIER (maman d’Elisa et Hugo) et Dorothée FOURNIER (maman de Manuel) qui profitent d’un moment de détente avant l’effort…


… ainsi que (de gauche à droite) Christophe VARLET (papa de Clément) et Smaïn ZOUGGAR…


… sans oublier (de gauche à droite) Luc MASSON (Président et papa d’Inès) et Sébastien HUYGHE (Chargé de Communication et papa de Noé) qui semblent déjà bien dans l’ambiance !


Charly – mon époux - a revêtu son « Beste Clet’che »(5) car lui participe au Bal du Chat Noir !


Pour ma part, en dénichant la fève, je deviens le temps de la soirée la reine, la reine du bal bien évidemment !

Aux alentours de 20h00, après nous être suffisamment restaurés, désaltérés et mis dans l’ambiance, nous nous mettons en route pour le Kursaal de Dunkerque où doit avoir lieu le Bal du Chat Noir. Nous nous y rendons à pied par des températures plutôt fraîches, pour ne pas dire glaciales (surtout pour la gente féminine toujours prête à se plaindre !), la résidence où nous habitons se situant à proximité.


Malgré le froid, nos ardeurs ne sont pas refroidies !


Nous arrivons enfin au Kursaal de Dunkerque qui est un Palais des congrès, de salons et de spectacles !

Une fois arrivés, nous accomplissons quelques formalités comme nous enregistrer sur la liste de l’ensemble des bénévoles prévus pour assurer la logistique du bal et percevoir un bracelet accréditif. Au total, nous sommes tout de même plus de 500 bénévoles ! Il faut dire que le Bal du Chat Noir accueille en moyenne entre 8 000 et 9 000 carnavaleux !!! Nous faisons alors la connaissance de M. Pascal EVRARD, membre des Quat’Z’Arts en charge de la sécurité de la soirée qui nous accueille très chaleureusement en dépit de l’agitation palpable des derniers instants avant l’ouverture officielle du bal.


Pour pouvoir entrer, il faut montrer patte blanche et porter un bracelet justifiant son enregistrement et donnant accès à des zones spécifiques !

Une fois mis nos affaires aux vestiaires (pour le moins immenses !), nous sommes accueillis par Mme Mauricette WILS dit « Momo », un autre membre des Quat’Z’Arts qui nous remet notamment notre « tenue de travail » - un T-shirt aux couleurs de l’A.B.C.D.(4) ainsi que des gants de protection, nous fait visiter les lieux (la « grande salle », la « petite salle » et enfin l’envers du décor où nous serons amenés à officier) et enfin nous prodigue quelques recommandations pour que tout se déroule dans les meilleurs conditions possibles.


Avant le briefing, nous nous rendons aux gigantesques vestiaires pour confier nos effets personnels !


Nous découvrons les coulisses du Bal du Chat Noir !


« Momo » des Quat’Z’Arts (de dos avec son chapeau fushia) nous précise le travail que nous aurons à accomplir toute la soirée !


Pascal EVRARD des Quat’Z’Arts nous rappelle quelques règles de sécurité nécessaires !

A 20h00, nous prenons place à notre lieu d’affectation – c'est-à-dire autour de l’un des 7 bars mis en place pour la soirée - et attendons l’arrivée des carnavaleux. Pour la plupart d’entre nous, la tâche consiste à assurer la sécurité des personnes présentes en ramassant tout ce qui traînera parterre (verre en plastique, bouteilles, etc.) et à trier par la même occasion les bouteilles consignées. Pour d’autres, il s’agit d’aider à tenir le bar.


Avant que le bal ne commence, petit photo souvenir avec l’ensemble des bénévoles de la soirée… et oui tout de même !


…Puis une petite coupe de champagne pour se mettre dans l’ambiance festive… et dès qu’il s’agit de boire un petit coup la famille HUYGHE - père et fils – n’est jamais très loin(^O^) !


Tout comme Luc MASSON, Président et papa d’Inès, qui pour l’occasion a revêtu sa belle tenue de Bob Le Bricoleur® (^O^) !


Un dernier petit encas pour la route !


La pression monte au niveau des bars où chacun s’atèle aux tous derniers préparatifs !


Un des bars les plus fréquentés lors du bal !


Chacun s’installe à son poste ! Pour certains, ce sera devant les comptoirs…


… et pour d’autres, derrière !


Mais tout le monde est fin prêt !

Le travail est pour le moins physique et durera sans relâche jusqu’à 06h00 le dimanche matin, heure de clôture du bal. Néanmoins, en dépit de sa pénibilité, nous n’avons pas vu le temps passé. En effet, en oeuvrant au cœur de l'immense liesse générale du Carnaval dunkerquois, l’ambiance est pour le moins très agréable. Imaginez un peu, travailler au milieu d’une foule de gens qui ont revêtu leur « Beste Clet’che »(5) comme l’exige la tradition, déguisement qui se décline sous des formes diverses et variées. La plupart des carnavaleux, les « vieux de la vieille », gardent leur costume au fil des ans car une fois trouvé un, ils ne le quittent plus et l'arrangent... C'est aussi un moyen pour se retrouver ! Beaucoup d'hommes se déguisent en femme à grand renfort de perruques, bas résilles, faux cils, maquillage, etc. Mais il y a également les traditionnels chapeaux à fleurs, les costumes africains, ou encore des costumes plus sophistiqués et novateurs… Quoiqu’il en soit, l’imagination ne fait jamais défaut !


En attendant l’arrivée des 1er carnavaleux, (de gauche à droite) Sandrine PLANCQ (Vice-présidente et maman de Laura), Sylviane FOURNIER (maman d’Elisa et Hugo) et Dorothée FOURNIER (maman de Manuel) se mettent déjà l’ambiance !


… Tout comme Francine CLAUSI (à droite) qui a retrouvé quelques amies !


Le monde commence à arriver !


L’occasion d’admirer certains costumes, ici très traditionnel avec le chapeau à fleurs !


Un autre déguisement traditionnel : le costume africain !


Un déguisement d’homme en femme peu conventionnel !


Un groupe de femmes et hommes des cavernes plutôt original !

Il est presque 23h00, les carnavaleux commencent à affluer en masse. A minuit, le Député Maire de Dunkerque – M. Michel DELEBARRE – déclare officiellement ouverte la saison carnavalesque. Dans la grande salle, autour du kiosque central - particularité du Bal du Chat Noir - il y a toute la confrérie des tambours-majors(6). L'ambiance monte dans l'attente du « chahut de minuit » - moment phare et incontournable de ces festivités - qui s’ensuit et qui dure pendant près d’une heure. Toutes ces personnes qui chantent à l’unisson constituent un spectacle très impressionnant ! C’est un moment d’une grande intensité, une sensation qui n’appartient qu’au carnaval. Voilà l’image du carnaval !


Roulez tambours-majors !


La folie s’empare des carnavaleux !


C’est une véritable marée humaine !

Toute la nuit, trois orchestres entraîneront les Dunkerquois, entre variétés et chants de carnaval. L’association carnavalesque tient à rappeler aux carnavaleux, surtout auprès des jeunes générations, les origines du carnaval, à travers le chant « Putain d’Islande » et la projection d’images en noir et blanc des années 1920.


Pour faire de la bonne musique de carnaval, il faut des tambours…


… Quelques cuivres…


… Sans oublier les fifres !


…Et la guitare, ben heu… c’est pour un autre type de musique !

Après avoir passé en revue tout le répertoire des chansons du carnaval, les participants entonnent sans désemparer « L’Hymne à Cô-Pinard » et la célèbre et vibrante « Cantate à Jean Bart » qui marque la fin du bal… et pour nous la fin d’un dur labeur !


Il y a toujours d’éternels trainards qui ne veulent pas voir le bal s’achever !

C’est quelque peu fourbus, courbaturés et les muscles endoloris que nous sommes ensemble retournés chez nous pour la traditionnelle et revigorante soupe à l’oignon d’après bal. Une bien belle soirée qui a su allier l’utile à l’agréable au profit de nos extraordinaires « Injenount'ches » !


Pour se revigorer, rien de telle qu’une délicieuse soupe à l’oignons !


… Servie par moi-même !


… Mais préparée et mitonnée par Charly, mon époux !

Christelle GERARD
Maman de Hugo et Mél’

(1) « Nount'che » signifie « petit enfant » en dunkerquois. Le dunkerquois est un patois mâtiné de flamand encore parlé de nos jours à Dunkerque et sa périphérie (Malo-les-Bains, Rosendaël, Coudekerque, Saint-Pol-sur-Mer, Bergues...). Ce n'est ni du flamand occidental (même s’il emprunte un certain nombre de mots), ni du Ch'ti qui appartient au groupe des langues d’oïl et plus particulièrement au picard (contrairement à la croyance qu’a pu véhiculer le film « Bienvenue chez les Ch'tis » réalisé par Dany Boon !). Le dunkerquois se parle avec un accent très prononcé, et forcé même dans certaines occasions, comme par exemple durant le Carnaval de Dunkerque.

(2) Organisé pour la première fois en 1892 à Montmartre, le Bal des Quat'Z'Arts réunissait les élèves en architecture, peinture, sculpture et gravure, d’où le nom. C'était une grande fête carnavalesque parisienne préparée, chaque printemps, par les étudiants de l'École nationale des Beaux-Arts de Paris. Les participants, obligatoirement costumés, l'étaient de moins en moins au fil de la soirée qui prenait souvent un tour orgiaque. D’ailleurs en 1893, au Moulin Rouge où avait lieu la fête, un modèle artistique aurait improvisé un lent effeuillage en musique, inventant ainsi le strip-tease.

Les bals avaient chaque année un thème choisi. A l'occasion de chaque bal des Quat'Z'Arts était réalisé un bronze. Il s'agissait d'une médaille que portait au cou les organisateurs du bal, au moment de celui-ci.

Les billets d'entrée, invitations et affiches du Bal des Quat'Z'Arts bénéficiaient de tout le talent des élèves de l'École des Beaux-Arts et constituent un véritable panorama de la mode dans les arts graphiques.

Dans une chanson drôle et nostalgique à la fois, Georges Brassens a chanté l'enterrement mis en scène pour marquer la fin de cette tradition estudiantine. Il l'a fait en 1964, deux ans avant la disparition effective du Bal des Quat'Z'Arts. Cette chanson témoigne du prestige et de la célébrité de ce bal, qui était connu et apprécié bien au delà du seul milieu des étudiants de l'École des Beaux-Arts.

C'est en 1966 que le bal se déroula pour la dernière fois puisqu’en 1967, des problèmes d'organisation, et en 1968, les évènements de mai, furent un obstacle insurmontable à l'organisation du bal. Depuis, il n'a pas reparu. Les anciens, qui l'ont connu, en gardent d'attachants souvenirs.

Néanmoins le prestige immense du bal parisien a amené à reprendre ailleurs son nom. Ainsi à Dunkerque, une des sociétés philantropiques et carnavalesques porte ainsi le nom des Quat'Z'Arts. Dès 1921, année de sa fondation, elle est à l'origine d'un Bal des Quat'Z'Arts dunkerquois (le 07 février 1921). En 1925-1926, le bal se trouve une couleur et un emblème puisqu’il sera baptisé Bal du Chat Noir, en référence au célèbre cabaret artistique montmartrois éponyme (fondé en 1881 par Rodolphe Salis). C'est un des plus fameux bals du Carnaval de Dunkerque, dont il ouvre la saison, chaque année.

Site Internet : http://www.4zarts.fr

Adresse courriel : contact@4zarts.fr

(3) « Faire chapelle », c’est aller chez les gens - connaissance ou non - qui ouvrent leur maison au carnavaleux ou inversement ouvrir son chez-soi à des carnavaleux - connaissance ou non mais souvent sur invitation et mot de passe pour éviter les intrus - et partager à boire et à manger bien souvent sur fond musical pour pousser la chansonnette ou danser. Chaque carnavaleux peu mettre une petite contribution dans une tirelire sur la table, cela permet aux organisateurs de refaire le plein de victuailles pour les autres.

(4) L’A.B.C.D. (Association des Bals de Carnaval de Dunkerque) est un collectif qui regroupe les 11 associations philanthropiques organisant un bal au Kursaal/Palais des Congrès de Dunkerque (Les Acharnés, Les Chevaliers du XXe Siècle, La Jeune France, Les P’tits Louis, L'Harmonie de Dunkerque-Malo et l'amicale des sapeurs Pompiers, Les Corsaires Dunkerquois, Les Kakernesches, Les Quat'Z'Arts, Les Snustreraer, Le Sporting Dunkerquois).

(5) « Beste Clet’che » signifie « plus beau costume » en patois dunkerquois.

(6) Le tambour-major est un personnage primordial du carnaval. Sa fonction honorifique est très convoitée car elle constitue une sorte de consécration dans le monde du carnaval. Le tambour-major contribue non seulement à la préparation de l’itinéraire de la bande avec la municipalité mais également à la discipline le jour du défilé puisqu’il conduit la Bande, marque les pauses et les chahuts. Il doit veiller à être à l’heure aux rendez-vous et mettre un peu de discipline dans la pagaille générale pour guider la foule et les musiciens et c’est avec sa canne par des signaux que le tambour-major communique. Pour permettre une bonne coordination de l’orchestre, un chef cuivre et un chef fifre transmettent les consignes à leurs musiciens respectifs.

Chaque territoire de la communauté urbaine de Dunkerque dispose de son tambour-major, mais tous sont revêtus du même costume de grognard napoléonien (volumineux colback, redingote bleue à boutons dorés ornée d’imposants galons, pantalon blanc et guêtres assorties). Traditionnellement, son nom commence par Cô, le diminutif de François, suivi de son alcool favori. Parmi eux et certainement plus populaire des tambours-majors dunkerquois « Cô-Pinard II ». Un hymne l’immortalise d’ailleurs dans la mémoire collective.

Le tambour-major est accompagné de la cantinière qui, avec son petit tonneau rempli de cognac ou de genièvre, donne à boire aux musiciens. Amie fidèle et de confiance, elle est choisie par l’épouse du tambour-major. Ils sont devancés dans la bande par une vingtaine de « chasse-nèches » : un service d’ordre non déguisé qui pousse les carnavaleux distraits et veille à la sécurité de la bande et des musiciens.

Commentaires

4 commentaires

  1. bonjour c’est marie charlotte encore une très très belle iniative beaucoup de travail mais l’ambiance était au top mais c’est ça injeno vive injeno et mille merci pour tout injeno et moi marie charlotte je n’y étais pas mais trouve votre billet formidable très beau bravo bravo injeno
    je ne fais plus du tout partie du groupe 2q37 n’a plus d’accès au forum et normalement sur le site plus de photos articles sur moi par mon propore choix c’était un groupe très gentil mais me sentait moins à ma place que injeno
    mes parents l’ont sû après cette difficile décision faite seule mais sont contents et me comprennent eux même ne se sentaient pas à leur place ils n’ont jamais fait partie du groupe mais leur dit depuis un moment que je suis plus à l’aise avec vous ils approuvent même si je ne suis pas une enfant que cette asso si je me sens bien faut continuer si vous voulez toujours de moi je vous fais de gros gros bisous et encore bravo

  2. Bonjour à tous et toutes,

    Tout d’abord, toutes mes félicitations à ceux et celles qui ont donné de leur temps pour ce bal. Moi qui ne suis pas un oiseau de nuit, je vous admire et vous félicite pour le travail accompli.

    Ensuite, bravo pour le billet. On s’y croirait et les photos sont superbes.

    Enfin, merci aux 4’Z’arts pour le don en échange des bénévoles. Profiter de moments de fêtes pour être généreux avec les autres, je trouve ça génial.

    Bisous à tous.

    Estelle

  3. bonjour à tous.
    Comme d’habitube c un super billet qu’on a pu lire et des photos magnifiques on si croirait.Mais que d’heures de travail et d’organisation il a fallu, et tout ça pour le bonheur des enfants extraordinaires ,je vous félicites.
    Bonne journée à tous.

    Mamy D’hanna

  4. Bonjour
    Bravo pour ce billet qui nous fait vivre un peu ce bal de carnaval.
    Félicitations à toute l’équipe de bénévoles.

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09/02/2009
Maryvonne, maman de Cécile a écrit :

Bonjour Bravo pour ce billet qui nous fait vivre un peu ce bal de carnaval. Félicitations à toute l'équipe de bénévoles.

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